La Borderie

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Volailles de plein air, petits fruits émergents et autosuffisance.

Simplicité, Qualité, Cohérence


Nos produits

disponibles sur réservation

Poulet blanc
Poulet blanc
  • poulet conventionnel
  • poitrines charnues
  • élevé de 9 à 10 semaines
  • poids: 4 à 6 lb
Poulet rustique
Poulet rustique
  • rustic ranger
  • viande brune, non grasse et plus fibreuse
  • ailes et cuisses généreuses
  • élevé 12 semaines
  • poids: 3.5 à 5 lb
Pintade
Pintade
  • origine africaine
  • chair brune et gras jaune
  • goût musqué
  • élevé de 14 à 15 semaines
  • poids: 3 à 4 lb
Oeufs frais
Oeufs frais
  • poules pondeuses élevées en plein air
  • vendus à la douzaine

Disponible à la ferme ou livraison possible dans certains secteurs

Aussi disponible à la ferme et sur les marchés (selon l'arrivage):
cuisses poitrines ailes bouillon abats pâtés de foie
sureau amélanches cassis et autres petits fruits

Nos ingrédients secrets

Céréales provenant
de fermes du Kamouraska

Sans antibiotiques
Sans médicaments

Parcours libre
extérieur

Élevage en croissance lente

Moulée 100%
végétale

Jeunes, les poulets et pintades sont nourris exclusivement de moulée 100 % végétale, puis des céréales entières provenant de fermes de la région sont progressivement incorporées à leur ration. Jusqu'à la fin de leur vie, ces grains représenteront la nourriture principale des volailles. Nous n’utilisons aucun médicament ni antibiotique.

Nous élevons nos volailles de manière à ce que leur croissance soit lente, au minimum 9 semaines pour les poulets et jusqu’à 16 semaines pour les pintades et les races de poulets plus rustiques.

Une bonne (et longue) vie, de la nourriture de qualité, beaucoup d'espace en plein air et notre ingrédient secret : l’air du Kamouraska. Ce sont les conditions gagnantes qui confèrent aux volailles une chair généreuse, plus ferme, peu grasse et une saveur plus relevée.

Pourquoi « La Borderie » ?

En vieux français, c'est comme ça qu'on nommait les petites fermes de moins de 10 hectares par opposition aux exploitations plus importantes, appelées « métairies ». Nous croyons que ce nom est cohérent avec notre mode de vie, en plus de connecter le projet à ses origines poitevines.

En vieux français, c'est comme ça qu'on nommait les petites fermes de moins de 10 hectares par opposition aux exploitations plus importantes, appelées « métairies ». Nous croyons que ce nom est cohérent avec notre mode de vie, en plus de connecter le projet à ses origines poitevines.

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